… des données, des services autour de la donnée (ici la carte web) et surtout une communauté active de contributeur qui fait vivre le projet !
OSM est souvent comparé au Wikipédia des cartes. Tout un chacun peut contribuer à cette base de données mais aussi réutiliser les données. On parle ici de données et non pas d’information à l’instar de GoogleMaps (dans le sens ou l’utilisateur n’a pas accès aux données et ne peut les manipuler). C’est aussi un vaste écosystème de services autour de la donnée géographique libre : de l’application de navigation, au service de rendu cartographique en passant par de multiples services d’utilisation des données (calculs d’itinéraires cyclables par exemple). Enfin, en fonction des dynamiques locales, les communauté locales, nationales ou internationale se retrouvent pour échanger, chercher des réponses ou faire évoluer l’écosystème, que ce soit sur les canaux de discussions en ligne (notamment les listes de discussions) ou en présentiel lors de rencontres informelles ou de l’événement annuel « State of the Map ».